Depuis quelques jours, chaque après midi, mon sac et le papier à bulle sont agréablement squattés.
Le tableau est singulier, l'atelier devient le lieu où certains s'adonnent à la sieste pendant que d'autres sont en pleine ébulition.
Fascinée par cette drôle de cohabitation... enfin quand je me m'aperçois de ces visites silencieuses.
Reste à savoir qui veille sur qui...